Foule, grands immeubles, enseignes lumineuses géantes... C'est le Tokyo que tout le monde connaît. Là, aux croisements des grandes avenues, il y a des passages pour piétons marqués de rayures blanches tout autour du carrefour comme en France, mais en plus deux grands en diagonale! Et à un moment, le feu est rouge pour toutes les voitures et tous les piétons sagement massés sur les trottoirs traversent en même temps dans tous les sens, ça fait des croisements de foules impressionnants.
Et voici un cinéma, avec le dernier Harry Potter en japonais!
Nous mangeons dans un fast-bouiboui local, des sobas pour changer, dans une atmosphère glacée par la clim. C'est dans ce quartier qu'a lieu un concert du groupe d'amis d'Abe, dans une toute petite cave style cabaret. Et nous voici à écouter une auteur-compositeur-interprète qui chante en s'accompagnant au piano (électrique Yamaha) des chansons d'amour dans le plus pur style variétés françaises des années 70;
un guitariste/chanteur qui fait dans le folk/bossa
sur son tablier, son nom "francisé": il s'appelle Taburo, ce qui en gros se prononce "tableau".
;...et enfin le groupe d'Abe: shakuashi, shamisen, chant et percussions dans un style variétés/perso assez étonnant, entre autres un morceau français du XIIIème siècle recomposé et un très étrange arrangement d'El Condor Passa plus Fujiyama que cordilière des Andes!
Je vous mettrai la vidéo quand j'aurai trouvé un logiciel pour la découper, ou mieux: un moyen pour pointer sur un FTP (ces jours-ci c'est mon combat, non résolu pour l'instant), parce que là je n'arrive pas à la transférer, il y a toujours une "erreur" quelque part ... En attendant, ces photos:
Bref, un aperçu sympa de ce qu'aiment les jeunes musiciens japonais: chansons d'amûûr comme partout, amériques, europe. Mondial!
(...à suivre)
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